« Je me réjouis de cette décision qui s’inscrit dans la droite ligne de la jurisprudence, constante en la matière. Celle-ci définit la tenue à un rythme régulier de douze sessions plénières à Strasbourg. Je me félicite que la Cour ait suivi les conclusions de l’Avocat général rendues en septembre dernier », indique Roland Ries.
«Cet arrêt sonne le glas des manœuvres et autres manipulations exercées par les anti-Strasbourg ».
« Le droit en sort renforcé et cette décision conforte le siège du Parlement européen, à Strasbourg », souligne Roland Ries, avant de rappeler l’action forte de la France et du Luxembourg à ses côtés :
« L’engagement à nos côtés des gouvernements français et luxembourgeois a été déterminant et je les en remercie chaleureusement ».
« Douze sessions plénières, pleines et entières à Strasbourg, se justifient totalement au regard de l’accroissement continu des compétences législatives du Parlement. Il est nécessaire que les eurodéputés puissent à présent se concentrer sereinement sur leur tâche, dans un fonctionnement démocratique indispensable à l’Europe des citoyens qui se développe à Strasbourg ».
« La mobilisation collective en faveur de Strasbourg, qu’elle soit locale, nationale ou européenne, doit rester intacte », martèle le maire de Strasbourg en guise de conclusion.