"Quand il a commencé à se vivre comme un candidat à la présidence, ce type a perdu la tête. Il n'est absolument pas fiable. Il a un système nerveux qui n'est pas rassurant. On ne peut pas lui confier le bouton du nucléaire! Il est dangereux", ajoute-t-il.
Bedos, qui souligne qu'il n'ira pas rejoindre le comité de soutien de la candidate socialiste Ségolène Royal car "ça le barbe", confie qu'il a "la naïveté de penser" qu'en cas de second tour entre Ségolène Royal et Jean-Marie Le Pen, les électeurs de droite "rendront (aux électeurs de gauche qui avaient voté Jacques Chirac en 2002, ndlr) la politesse".
A eux cette fois de faire un pas vers la démocratie", ajoute-t-il.