"Nicolas Sarkozy a une ambition, il faut qu'il apprivoise cette ambition et qu'il s'apprivoise lui-même pour atteindre la sérénité" et "être dans un rapport avec la nation qui évite les divisions", a-t-il jugé.
Ainsi, a-t-il lâché, il faut également que "chacun prenne sa place, le gouvernement, les ministres, les administrations et alors on pourra peut-être rentrer dans le vif du sujet, c'est-à-dire le début des résultats".
Il a par ailleurs condamné l'adoption de l'amendement sur les tests ADN pour les candidats au regroupement familial, le jugeant "pas constitutionnelle".
"Cela me blesse", a-t-il dit, car c'est "une entorse à un principe, même sur un mode facultatif et expérimental, ce n'est pas acceptable" et qui pourrait participer à "détricoter ce modèle républicain au gré des besoins".