"Qu'elle découvre qu'il y a un problème de délinquance, et notamment de délinquance des jeunes, j'en suis ravi", a poursuivi le ministre de la Cohésion sociale. "J'aurais préféré qu'elle vienne voter à la fois le plan de rénovation urbaine, le plan de cohésion sociale, qu'elle vote les internats de réussite éducative qu'elle a l'air de découvrir et ce qu'on appelle "défense deuxième chance", c'est-à-dire l'encadrement par l'armée d'un certain nombre de jeunes pour leur apprendre le métier".
"Tout ça, c'est en place depuis un an grâce au plan de cohésion sociale. Je n'ai pas le souvenir qu'elle ait assisté au moindre débat", a dit Jean-Louis Borloo.