Même si elle affirme à qui veut l'entendre qu'il est trop tôt aujourd'hui pour penser à la présidentielle et que «le problème des candidatures se posera fin janvier 2007», elle prévient qu'elle sera «au premier rang» de la campagne.
«J'en ai assez d'entendre dénigrer la France, assez d'entendre dire que nous sommes sur le déclin. Je suis fière de mon pays.» Appel à la responsabilité, à l'effort, à la confiance, égalité des chances, défense de la vieille idée gaulliste de participation : le message plaît aux militants auprès desquels Michèle Alliot-Marie a une vraie cote d'amour.
Que fera-t-elle en 2007 ? «Tout naturellement, je serai au premier rang. Je serai un acteur de la campagne présidentielle pour soutenir mes convictions et mes idées.»
Ses adversaires, eux, restent sceptiques.
«J'en ai assez d'entendre dénigrer la France, assez d'entendre dire que nous sommes sur le déclin. Je suis fière de mon pays.» Appel à la responsabilité, à l'effort, à la confiance, égalité des chances, défense de la vieille idée gaulliste de participation : le message plaît aux militants auprès desquels Michèle Alliot-Marie a une vraie cote d'amour.
Que fera-t-elle en 2007 ? «Tout naturellement, je serai au premier rang. Je serai un acteur de la campagne présidentielle pour soutenir mes convictions et mes idées.»
Ses adversaires, eux, restent sceptiques.
Candidat libre, pour une métropole libre !