Il a aussi confirmé que, s'il sortait vainqueur du congrès de désignation programmé en janvier 2007, il quitterait le gouvernement pour mener campagne.
Et, comme il ne «peut pas imaginer qu'une règle s'impose» à lui «et à personne d'autre», il veut croire que pour Dominique de Villepin aussi «il va de soi que le candidat auquel les adhérents de l'UMP auraient choisi d'accorder leur soutien devrait se consacrer à cette tâche pleinement et complètement».
Mais, prudent, le numéro deux du gouvernement a pris la précaution d'expliquer qu'il ne lui revenait pas de «dire au premier ministre ce qu'il devrait faire».