Le chef de l’État a tout d’abord marqué sa volonté de mener les réformes jusqu’au bout. Nous sommes "convaincus que se joue une partie de l’avenir du pays. Donc, on a vraiment envie de réussir, de réussir pour les enseignants. Pas contre vous, mais avec vous", a déclaré Nicolas Sarkozy, qui a souligné vouloir "donner la meilleure école pour vos enfants."
Le président de la République a insisté sur le fait que ce n’est pas "forcément avec plus d’argent, plus de postes, plus, plus, plus, dans un pays qui depuis 35 ans vote des budgets en déficit. Ca peut être mieux, mieux, mieux. C’est ça mon devoir aussi".
Soulignant la compétence et le dévouement des enseignants, Nicolas Sarkozy a déclaré vouloir améliorer leurs conditions de plus en plus difficiles d’exercice. Il a rappelé que la souplesse dans le statut des enseignants ne devait pas être perçue comme une menace et que les notions "de mérite, d’effort, de travail, de ponctualité et de régularité" devaient être prises en compte et récompensées.
Le président de la République a insisté sur le fait que ce n’est pas "forcément avec plus d’argent, plus de postes, plus, plus, plus, dans un pays qui depuis 35 ans vote des budgets en déficit. Ca peut être mieux, mieux, mieux. C’est ça mon devoir aussi".
Soulignant la compétence et le dévouement des enseignants, Nicolas Sarkozy a déclaré vouloir améliorer leurs conditions de plus en plus difficiles d’exercice. Il a rappelé que la souplesse dans le statut des enseignants ne devait pas être perçue comme une menace et que les notions "de mérite, d’effort, de travail, de ponctualité et de régularité" devaient être prises en compte et récompensées.
Vincent Peillon salue le travail de la médiatrice de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur