"J'ai l'impression que ma vie ressemble à la vôtre lorsque vous étiez au paroxysme de vos carrières", leur a déclaré Nicolas Sarkozy, qui a filé la métaphore sportive pour évoquer la dernière ligne droite de la campagne présidentielle.
"Il faut que je sois à la fois très fort et en même temps très sensible", a dit l'ancien ministre de l'Intérieur. "Il faut que je sois à la limite de ce qu'on peut donner physiquement et donc au carrefour de toutes les fragilités, ce qui est la définition exacte d'une femme ou d'un homme en forme."
"Il faut que j'intègre l'idée que la meilleure façon de lutter contre le stress de la compétition, c'est d'avoir beaucoup travaillé à l'entraînement, parce que l'entraînement ça rassure", a poursuivi l'ex-ministre de l'Intérieur.