A ses yeux, le Parti communiste et les autres composantes de la mouvance antilibérale, qui s'est agglomérée autour du "non" à la Constitution européenne, n'ont pas assez clairement refusé de participer à un éventuel gouvernement socialiste issu des élections de 2007.
Cinq ans après le 21 avril 2002, et l'élimination de Lionel Jospin dès le premier tour de la présidentielle, Olivier Besancenot ne souhaite ni "la dispersion électorale" ni une "unité de façade" qui "éviterait d'aborder les sujets qui fâchent".
Olivier Besancenot défend deux grands mots d'ordre: lutte contre le capitalisme et contre les discriminations.