Le secrétaire général de l’Élysée affirme que la France n’aurait rien à cacher sur les conditions de la libération des infirmières bulgares.
Par ailleurs, le Premier ministre se félicite du soutien apporté par le président de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer, à la constitution d’une commission d’enquête afin d’éclairer, en toute objectivité, la représentation nationale sur les développements récents des relations entre la France et la Libye, y compris en matière d’armement.
Cette commission permettra d’illustrer l’absence d’ambiguïté du comportement du Gouvernement français qui peut être fier d’avoir contribué, sans contrepartie, à la libération des infirmières bulgares. Dans le même temps, le Gouvernement ne saurait interdire l’aboutissement de négociations commerciales engagées depuis longtemps, dès la levée de l’embargo à l’égard de la Libye, validée au plan international.