"Après avoir mûrement réfléchi à cette question, j'ai décidé que le calendrier des élections municipales, cantonales et sénatoriales ne serait pas modifié et qu'on en reste au calendrier que nous avions prévu", a-t-il déclaré devant le 89e Congrès des maire de France.
Les prochaines élections municipales étaient initialement prévues en 2007. Cette année étant électoralement déjà chargée avec la présidentielle et les législatives du printemps, elles ont été décalées d'un an.
Nicolas Sarkozy, qui entend briguer la succession du président Jacques Chirac, souhaitait rétablir le calendrier initial, comme l'ont demandé plusieurs de ses proches.
Pour les "sarkozystes", l'organisation des municipales dans la foulée de la présidentielle et des législatives auraient permis au nouvel exécutif d'engager des réformes dans un climat politique plus serein.
Le Premier ministre, Dominique de Villepin, a pour sa part déclaré mercredi devant le Congrès des maires qu'il ne voyait "pas de raison pour modifier la date" de ces élections.
"Elles ont été prévues en 2008, elles devront se dérouler en 2008", a dit le chef du gouvernement.
Le président UMP de l'AMF, Jacques Pélissard, avait pour sa part déclaré mardi que l'association demandait le maintien de la date des municipales au mois de mars 2008.
"C'est une affaire que j'ai mûrement réfléchie", a dit Nicolas Sarkozy. "D'un côté l'avantage pour le prochain gouvernement de disposer d'une longue plage de travail sans échéances électorales. De l'autre, l'inconvénient pour les élus de voir le calendrier électoral changer à nouveau."
Les prochaines élections municipales étaient initialement prévues en 2007. Cette année étant électoralement déjà chargée avec la présidentielle et les législatives du printemps, elles ont été décalées d'un an.
Nicolas Sarkozy, qui entend briguer la succession du président Jacques Chirac, souhaitait rétablir le calendrier initial, comme l'ont demandé plusieurs de ses proches.
Pour les "sarkozystes", l'organisation des municipales dans la foulée de la présidentielle et des législatives auraient permis au nouvel exécutif d'engager des réformes dans un climat politique plus serein.
Le Premier ministre, Dominique de Villepin, a pour sa part déclaré mercredi devant le Congrès des maires qu'il ne voyait "pas de raison pour modifier la date" de ces élections.
"Elles ont été prévues en 2008, elles devront se dérouler en 2008", a dit le chef du gouvernement.
Le président UMP de l'AMF, Jacques Pélissard, avait pour sa part déclaré mardi que l'association demandait le maintien de la date des municipales au mois de mars 2008.
"C'est une affaire que j'ai mûrement réfléchie", a dit Nicolas Sarkozy. "D'un côté l'avantage pour le prochain gouvernement de disposer d'une longue plage de travail sans échéances électorales. De l'autre, l'inconvénient pour les élus de voir le calendrier électoral changer à nouveau."
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