Notons cependant que ce second tour a été marqué par une forte abstention (plus des deux tiers !).
Ce scrutin était organisé à la suite de l'annulation en juin de l'élection de Marie-José Cayzac en mars 2008 par le Conseil d'État. La haute juridiction avait en effet relevé des différences entre les deux tours concernant plusieurs dizaines de signatures d'électeurs.