Le communiqué de presse est laconique : «Philippe de Villiers déposera mardi 13 février à 17h30 ses dernières signatures au Conseil Constitutionnel et annoncera qu’il a réuni les 500 signatures nécessaires pour être candidat à l’élection présidentielle».
Après un démarrage laborieux, le candidat du Mouvement pour la France (MPF) devrait donc pouvoir se présenter à l’élection présidentielle. En fin de matinée, son lieutenant, Guillaume Peltier, annonçait avoir franchi la barre des 495 signatures d’élus.
Interrogé par Le Figaro, Villiers expliquait mardi matin que la course aux signatures mobilisait toutes ses forces. «Depuis trois mois, je ne fais que cela, et j'ai subi une véritable élimination médiatique, car j'ai moins le temps de faire campagne ».
L’étape des signatures étant franchie, le candidat pourra se consacrer à l’élection. Un meeting est déjà prévu à Paris le 31 mars prochain.
Après un démarrage laborieux, le candidat du Mouvement pour la France (MPF) devrait donc pouvoir se présenter à l’élection présidentielle. En fin de matinée, son lieutenant, Guillaume Peltier, annonçait avoir franchi la barre des 495 signatures d’élus.
Interrogé par Le Figaro, Villiers expliquait mardi matin que la course aux signatures mobilisait toutes ses forces. «Depuis trois mois, je ne fais que cela, et j'ai subi une véritable élimination médiatique, car j'ai moins le temps de faire campagne ».
L’étape des signatures étant franchie, le candidat pourra se consacrer à l’élection. Un meeting est déjà prévu à Paris le 31 mars prochain.
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