Les garçons trichent plus souvent que les filles: 64,8% contre 42%. Et ceux qui se disent religieux trichent encore plus (65,4%) que ceux qui ne le sont pas (58,3%).
Les techniques sont toujours les mêmes : regarder par-dessus l'épaule de son voisin (14,5%) ou récupérer le test auprès d'un étudiant qui vient de le passer (9,2%). Certains utilisent des ruses plus sophistiquées et stockent les réponses sur une calculatrice (11,1%).
Près de la moitié des étudiants (45,9%) acceptent d'aider tacitement l'autre à tricher. Plus des trois-quarts (77,4%) ne demandent rien en échange mais 3,9% demandent de l'argent et pas moins de 12,2% se font payer en nature, au lit.