"Je n'accepte pas que dans une entreprise on explique aux salariés qu'il faut supprimer 10.000 emplois parce qu'on a besoin d'argent pour développer les nouveaux avions et que (...) le patron parte avec un chèque de huit millions d'euros", a-t-il de nouveau expliqué en faisant allusion aux indemnités touchées par l'ex-coprésident exécutif d'EADS Noël Forgeard.
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Ce n'est pas un problème personnel (...) Mais j'en ai assez que nos idées soient travesties par le comportement de quelques uns", a-t-il ajouté. "J'en ai assez que certains pensent qu'on doit être récompensé y compris quand on a échoué."