Ils craignent une dérive populiste et une manipulation des panels
"Nous ne voulons pas que le fossé se creuse encore un peu plus entre nous et les citoyens qui nous financent au travers de la redevance.
Les radios et télévisions du service public sont les leurs", ajoutent-ils, en réclamant "comme la majorité des citoyens, des débats entre les différents candidats, non seulement entre ceux de droite et ceux de gauche, mais aussi internes à la gauche et à la droite".
"Les projets de société doivent-être confrontés pour que les citoyens se forgent leur opinion", concluent-ils.
Les journalistes reconnaissent que les directions des chaînes publiques "accordent à cette élection une plus large place dans les grilles de programmes et à des heures de plus grande écoute".