Critiquant vivement la proposition de Mme Royal d'instaurer un encadrement militaire pour les jeunes délinquants, M. Allègre déclare : "Hélas, aujourd'hui, on a l'impression d'une course : Sarkoszy court derrière Le Pen et Royal derrière Sarkozy".
M. Allègre, dont Mme Royal fut la ministre déléguée au sein du gouvernement Jospin, affirme qu'"elle a une vision extrêmement répressive, juridique, réglementaire" et qu'"elle a peu d'enthousiasme pour s'occuper concrètement de prévention".
Pour lui, "Malheureusement, Ségolène Royal n'a pas dérapé : elle est sincère".
A la question de savoir si Mme Royal pourrait fédérer tout le PS si elle était désignée comme candidat à la présidentielle de 2007, l'ancien ministre est formel : "Avec les idées qu'elle développe aujourd'hui, Ségolène Royal est en train de couper le parti en deux (...) J'espère donc qu'elle ne sera pas désignée. Elle ne le mérite pas. Nous avons besoin d'un rassembleur de toute la gauche".
M. Allègre, dont Mme Royal fut la ministre déléguée au sein du gouvernement Jospin, affirme qu'"elle a une vision extrêmement répressive, juridique, réglementaire" et qu'"elle a peu d'enthousiasme pour s'occuper concrètement de prévention".
Pour lui, "Malheureusement, Ségolène Royal n'a pas dérapé : elle est sincère".
A la question de savoir si Mme Royal pourrait fédérer tout le PS si elle était désignée comme candidat à la présidentielle de 2007, l'ancien ministre est formel : "Avec les idées qu'elle développe aujourd'hui, Ségolène Royal est en train de couper le parti en deux (...) J'espère donc qu'elle ne sera pas désignée. Elle ne le mérite pas. Nous avons besoin d'un rassembleur de toute la gauche".
Candidat libre, pour une métropole libre !