Fadela Amara, secrétaire d'Etat chargée de la politique de la ville, a réagi en exprimant des réserves sur la mise en place de ces quotas à l'immigration, dans un entretien publiée aujourd'hui dans France Soir.
"Ce qui est sûr, c'est qu'il faut sortir des postures de générosité. On ne peut pas accueillir tout le monde", admet l’ex-présidente de l'association ‘Ni putes ni soumises’. "Est-ce qu'il faut des quotas, je ne sais pas. Mais on doit être capable de parler de façon sereine des flux migratoires. Il faut aborder la question tranquillement. Je ne suis pas vraiment d'accord, je crois".