Vice réactions aux « leçons du Professeur Villepin » sur RTL LCI la veille
A la question "Sentez-vous que Dominique de Villepin a envie de vous affronter dans une élection interne à l'UMP" de désignation du candidat en 2007, M. Sarkozy a répondu: "Ses dernières déclarations doivent bien témoigner d'une quelconque impatience. S'il veut être candidat, qu'il le dise!", a ajouté le président de l'UMP, en insistant sur le fait que M. de Villepin devait alors "suivre le calendrier fixé" par l'UMP.
Ce calendrier prévoit la tenue d'un congrès en janvier 2007 pour désigner le candidat soutenu par l'UMP à l'élection présidentielle.
Les candidatures devront se faire connaître à la fin du mois de novembre et il y aura un congrès où tous les militants de l'UMP pourront voter", a poursuivi M. Sarkozy.
Il n'y a pas de candidat de droit divin, il n'y a pas de domaine réservé à l'UMP", a affirmé M. Sarkozy.
"Que chacun qui a quelque chose à dire et veut porter une alternative ait le courage de le faire!
Mais ça se passe à l'intérieur de l'UMP, pas à l'extérieur", a-t-il insisté.
Par ailleurs, Nicolas Sarkozy a déclaré que "nous n'avons pas eu le courage de parler de l'immigration" et que "nous subissons un phénomène sans vouloir le contrôler".
M. Sarkozy a affirmé qu'il avait été "le seul responsable de cette situation de Cachan pendant un mois et demi".
"La discrimination positive à la française", a ajouté le président de l'UMP, "c'est "aider celui qui veut se lever tôt le matin".
Interrogé sur Robert Redeker, ce professeur de philosophie menacé de mort après une tribune sur l'islam dans laquelle il qualifiait notamment Mahomet de "pillard", le ministre de l'Intérieur a précisé sur la radio publique : "Nous le protégeons", ajoutant que l'enseignant fait l'objet d'une "fatwa".
"On a le droit de parler de ce qu'on veut dans une démocratie", a-t-il fait valoir.
"Ceux qui le menacent auront à rendre des comptes (...) C'est parfaitement scandaleux", a-t-il dit.
Ce calendrier prévoit la tenue d'un congrès en janvier 2007 pour désigner le candidat soutenu par l'UMP à l'élection présidentielle.
Les candidatures devront se faire connaître à la fin du mois de novembre et il y aura un congrès où tous les militants de l'UMP pourront voter", a poursuivi M. Sarkozy.
Il n'y a pas de candidat de droit divin, il n'y a pas de domaine réservé à l'UMP", a affirmé M. Sarkozy.
"Que chacun qui a quelque chose à dire et veut porter une alternative ait le courage de le faire!
Mais ça se passe à l'intérieur de l'UMP, pas à l'extérieur", a-t-il insisté.
Par ailleurs, Nicolas Sarkozy a déclaré que "nous n'avons pas eu le courage de parler de l'immigration" et que "nous subissons un phénomène sans vouloir le contrôler".
M. Sarkozy a affirmé qu'il avait été "le seul responsable de cette situation de Cachan pendant un mois et demi".
"La discrimination positive à la française", a ajouté le président de l'UMP, "c'est "aider celui qui veut se lever tôt le matin".
Interrogé sur Robert Redeker, ce professeur de philosophie menacé de mort après une tribune sur l'islam dans laquelle il qualifiait notamment Mahomet de "pillard", le ministre de l'Intérieur a précisé sur la radio publique : "Nous le protégeons", ajoutant que l'enseignant fait l'objet d'une "fatwa".
"On a le droit de parler de ce qu'on veut dans une démocratie", a-t-il fait valoir.
"Ceux qui le menacent auront à rendre des comptes (...) C'est parfaitement scandaleux", a-t-il dit.
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