"Si un ministre était envoyé en correctionnelle, il quitterait le gouvernement. S'il était relaxé, il reviendrait. Tout homme est présumé innocent", a indiqué mercredi l'entourage du chef de l'Etat.
André Santini, mis en examen dans l'affaire de la fondation d'art contemporain Hamon, a indiqué mardi: "J'attends simplement un non-lieu, et autrement je prendrai les décisions qui s'imposent".