Nicolas Sarkozy, qui quittera lundi ses fonctions au ministère de l'Intérieur pour se consacrer pleinement à sa campagne, a dit ne pas être sûr que "la multiplication des adjectifs" aurait "apporter quoi que ce soit" de plus.
Prié dimanche de dire sur Europe 1 quelle serait désormais son attitude vis-à-vis de Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy a laissé entendre qu'il n'avait pas l'intention de "tuer le père", selon la formule consacrée. "Ne l'ayant jamais considéré comme mon père je n'ai pas à faire ce qu'on fait d'habitude à son père", a-t-il dit.