A quatre semaines du premier tour, M. Sarkozy, à qui ses adversaires reprochaient depuis des mois de faire campagne avec les moyens de l'Etat, retrouvera ainsi sa totale liberté.
Et avec l'esprit tranquille, puisqu'il peut désormais se prévaloir du "vote" et du "soutien" de Jacques Chirac et du ralliement de Dominique de Villepin.
Pour sa première journée de campagne "plus libre", selon ses termes, M. Sarkozy se rend à Avignon dans l'après-midi, pour rencontrer des militants du Vaucluse.