"Quelle est la part de l'inné et quelle est la part de l'acquis ?", s'est-il à nouveau interrogé sur France 2.
L'ancien ministre de l'Intérieur a d'abord fait le parallèle avec le suicide, déclarant : "Je ne veux pas qu'on complexe les parents : tout jeune qui se suicide ce n'est pas exclusivement la faute des parents, il y a un terrain".
Il a ensuite parlé du cancer, soulignant qu'"il y a des tas de gens qui fument deux paquets de cigarettes et qui n'auront jamais de cancer et puis il y a des malheureux qui ne fument jamais, les fumeurs passifs, et qui auront le cancer, pourquoi ? parce que leur identité... il y a un terrain qui est plus propice et plus fragile", a-t-il ajouté.