Il s'agit pour lui, comme il l'avait promis à l'issue de la grève sur la réforme des régimes spéciaux de retraite, de "répondre à l'angoissante question du pouvoir d'achat, de la croissance et de l'emploi".
Mais, rattrapé par les violences urbaines qui ont agité deux jours le Val-d'Oise après la mort dimanche de deux adolescents tués à Villiers-le-Bel, il ne devrait pas manquer d'évoquer la situation dans les banlieues.
Un sujet brûlant qui devrait être aussi au menu de l'intervention qu'il fera, jeudi matin à La Défense, devant près de 2.000 policiers et gendarmes sur les questions de sécurité.