Ségolène Royal reconnaît, dans un entretien paru samedi dans le quotidien Sud-Ouest, "la capacité de mouvement" du président de la République Nicolas Sarkozy, tout en soulignant que, "paradoxalement, le principal risque (était) celui de l'immobilisme".
L’ex-candidate du PS à l’élection présidentielle a résumé son opinion sur les premiers mois d’exercice de M. Sarkozy : "Si on ne veut pas entrer dans la caricature, je dois lui reconnaître sa capacité de mouvement. Certains la jugeront excessive. C'est son style. L'important c'est d'avoir un style et ce n'est pas négatif."
"Nous avons quelqu'un qui démontre, au moins dans la forme, sa volonté que ça marche. Mais paradoxalement, le principal risque c'est celui de l'immobilisme", ajoute-t-elle.
"On voit bien que les réformes les plus douloureuses qui permettraient de remettre le pays sur le chemin de la croissance n'ont pas été faites. Au lieu d'évaluer la situation, on a droit à une nouvelle agitation", estime Mme Royal.
Sur l’épineux sujet d’une éventuelle audition de l'épouse du chef de l'Etat, Cécilia Sarkozy, par la future commission d'enquête parlementaire sur la Libye, Mme Royal reste prudente, estimant que "c'est la commission parlementaire qui doit dire si l'audition de Mme Sarkozy est nécessaire ou pas".
Quant à son prochain livre, Mme Royal indique qu'il paraîtrait "fin octobre", précisant : "C'est un bilan mais aussi une volonté de ne pas oublier la leçon."
L’ex-candidate du PS à l’élection présidentielle a résumé son opinion sur les premiers mois d’exercice de M. Sarkozy : "Si on ne veut pas entrer dans la caricature, je dois lui reconnaître sa capacité de mouvement. Certains la jugeront excessive. C'est son style. L'important c'est d'avoir un style et ce n'est pas négatif."
"Nous avons quelqu'un qui démontre, au moins dans la forme, sa volonté que ça marche. Mais paradoxalement, le principal risque c'est celui de l'immobilisme", ajoute-t-elle.
"On voit bien que les réformes les plus douloureuses qui permettraient de remettre le pays sur le chemin de la croissance n'ont pas été faites. Au lieu d'évaluer la situation, on a droit à une nouvelle agitation", estime Mme Royal.
Sur l’épineux sujet d’une éventuelle audition de l'épouse du chef de l'Etat, Cécilia Sarkozy, par la future commission d'enquête parlementaire sur la Libye, Mme Royal reste prudente, estimant que "c'est la commission parlementaire qui doit dire si l'audition de Mme Sarkozy est nécessaire ou pas".
Quant à son prochain livre, Mme Royal indique qu'il paraîtrait "fin octobre", précisant : "C'est un bilan mais aussi une volonté de ne pas oublier la leçon."
Candidat libre, pour une métropole libre !