En revanche, 36% des personnes interrogées estiment que cela sera "une mauvaise chose, car cela créera des inégalités dans l'accès aux études supérieures".
Sondage réalisé les 6 et 7 septembre par téléphone auprès d'un échantillon représentatif de la population nationale de 1.000 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.