L’Association Nationale pour la Protection du Ciel et de l’Environnement Nocturnes (ANPCEN) vient de recevoir un trophée de l’International Dark-sky Association (IDA), remis au ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, conjointement au trophée remis au Gouvernement français.
Le directeur exécutif de l’IDA Bob Parks indique «Je remercie l’ANPCEN et le gouvernement français de leur leadership audacieux pour protéger l'environnement et le ciel nocturne avec cette première loi, ses décrets et arrêtés nationaux de l'éclairage, exigeant des extinctions en milieu de nuit. J'espère que la démarche va devenir un modèle international à suivre par d'autres pays." »
« Nous ne nous attendions pas à cette distinction internationale d’une organisation de référence. Elle récompense nos actions de sensibilisation et d’accompagnement auprès des communes et citoyens depuis 15 ans ! Au début la pollution lumineuse n’intéressait personne…Tous les bénévoles de l’association n’en ont eu que plus de mérite. L’ANPCEN a alerté d’abord dans l’indifférence, puis elle a rencontré scepticisme, parfois opposition. Maintenant tout le monde reconnaît non seulement que ces enjeux sont pertinents, qu’il est possible d’agir et enfin que nos recommandations permettent des économies, indique Anne-Marie Ducroux, Présidente de l’ANPCEN. Nous avons suivi toute l’élaboration de la loi et, pendant 10 mois, l’élaboration de l’arrêté relatif à l’extinction nocturne en milieu de nuit des bâtiments non résidentiels, publié en janvier dernier. Il contribue à l’objectif public de « prévention, limitation, suppression » des nuisances lumineuses inscrit dans la loi et à la sobriété énergétique, qui a trouvé ainsi un écho spécifique à l’étranger ».
L’ANPCEN contribue à l’élaboration des textes nationaux et agit territorialement. Ainsi, le concours « Villes et Village étoilés » organisé par l’ANPCEN a déjà valorisé 300 communes en France, réunissant 600 000 habitants, qui mettent en place progressivement un éclairage maitrisé plus respectueux de l’environnement nocturne et de sa biodiversité. Le succès croissant de ce concours original auprès des communes de France et des citoyens traduit l’écho que reçoivent désormais les actions que l’ANPCEN conduit en faveur de la qualité de la nuit.
L’ANPCEN a déjà fait signer à 136 communes une charte d’engagements pour la protection du ciel et de l’environnement nocturnes créée en 2007, qui incite les communes à entrer dans une démarche de progrès quant à leur éclairage extérieur. En 2012, l’association a proposé des étiquettes environnementales originales, mises au point depuis plusieurs années comme indicateurs dans la charte. Ce sont des outils accessibles par le plus grand nombre. Le mouvement semble s’accélérer puisque 25 collectivités l’ont déjà signée depuis le début de l’année 2013 et dorénavant l’ANPCEN compte parmi les signataires également deux conseils généraux, deux syndicats d’électrification, et plusieurs communautés de communes représentant plus de 1 700 000 Français concernés par une amélioration progressive de leur environnement nocturne.
L’ANPCEN a déjà recensé 6000 communes pratiquant l’extinction en milieu de nuit, et 4000 restent à recenser.
www.anpcen.fr www.villesetvillagesetoiles.fr
Le directeur exécutif de l’IDA Bob Parks indique «Je remercie l’ANPCEN et le gouvernement français de leur leadership audacieux pour protéger l'environnement et le ciel nocturne avec cette première loi, ses décrets et arrêtés nationaux de l'éclairage, exigeant des extinctions en milieu de nuit. J'espère que la démarche va devenir un modèle international à suivre par d'autres pays." »
« Nous ne nous attendions pas à cette distinction internationale d’une organisation de référence. Elle récompense nos actions de sensibilisation et d’accompagnement auprès des communes et citoyens depuis 15 ans ! Au début la pollution lumineuse n’intéressait personne…Tous les bénévoles de l’association n’en ont eu que plus de mérite. L’ANPCEN a alerté d’abord dans l’indifférence, puis elle a rencontré scepticisme, parfois opposition. Maintenant tout le monde reconnaît non seulement que ces enjeux sont pertinents, qu’il est possible d’agir et enfin que nos recommandations permettent des économies, indique Anne-Marie Ducroux, Présidente de l’ANPCEN. Nous avons suivi toute l’élaboration de la loi et, pendant 10 mois, l’élaboration de l’arrêté relatif à l’extinction nocturne en milieu de nuit des bâtiments non résidentiels, publié en janvier dernier. Il contribue à l’objectif public de « prévention, limitation, suppression » des nuisances lumineuses inscrit dans la loi et à la sobriété énergétique, qui a trouvé ainsi un écho spécifique à l’étranger ».
L’ANPCEN contribue à l’élaboration des textes nationaux et agit territorialement. Ainsi, le concours « Villes et Village étoilés » organisé par l’ANPCEN a déjà valorisé 300 communes en France, réunissant 600 000 habitants, qui mettent en place progressivement un éclairage maitrisé plus respectueux de l’environnement nocturne et de sa biodiversité. Le succès croissant de ce concours original auprès des communes de France et des citoyens traduit l’écho que reçoivent désormais les actions que l’ANPCEN conduit en faveur de la qualité de la nuit.
L’ANPCEN a déjà fait signer à 136 communes une charte d’engagements pour la protection du ciel et de l’environnement nocturnes créée en 2007, qui incite les communes à entrer dans une démarche de progrès quant à leur éclairage extérieur. En 2012, l’association a proposé des étiquettes environnementales originales, mises au point depuis plusieurs années comme indicateurs dans la charte. Ce sont des outils accessibles par le plus grand nombre. Le mouvement semble s’accélérer puisque 25 collectivités l’ont déjà signée depuis le début de l’année 2013 et dorénavant l’ANPCEN compte parmi les signataires également deux conseils généraux, deux syndicats d’électrification, et plusieurs communautés de communes représentant plus de 1 700 000 Français concernés par une amélioration progressive de leur environnement nocturne.
L’ANPCEN a déjà recensé 6000 communes pratiquant l’extinction en milieu de nuit, et 4000 restent à recenser.
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Conférence des finances publiques locales du 16 juillet 2013