Elle visait à tester la réaction des différents services concernés du ministère de l’Intérieur, notamment les directions de la police nationale, de la gendarmerie, et de la sécurité civile, ainsi que la préfecture de police, les services de santé et les autres ministères concernés.
La ministre de l’Intérieur a rappelé que le pays "n’est pas plus menacé que d’autres", mais que la France "devait être capable de s’adapter à tous les risques d’attentats et à toutes (leurs) formes".