L'appel en faveur d'un statut de la langue régionale (dialectes et allemand standard) lancé en mars dernier par un collectif d'associations à l'initiative de Culture et Bilinguisme de Lorraine (CBL) a été signé par 366 élus mosellans. Cet appel invite le gouvernement à ouvrir une discussion parlementaire sur les 4 propositions de loi sur les langues régionales de France.
Outre de nombreux élus locaux, 7 des 10 députés de la Moselle ont répondu favorablement. Alain MARTY (UMP, Sarrebourg), Pierre LANG (UMP, Forbach) et Marie-Jo ZIMMERMANN (UMP, Metz 1) n'ont en revanche pas donné suite. C'est également le cas des élus d'Europe Ecologie - Les Verts au Conseil régional de Lorraine malgré les récentes déclarations d'Eva JOLY en faveur d'un statut officiel des langues régionales.
À quelques jours des élections sénatoriales du 25 septembre, CBL déplore qu'aucun des sénateurs mosellans sortants n'ait répondu malgré plusieurs relances. Cela concerne notamment Jean-Pierre MASSERET, président (PS) de la région Lorraine et Philippe LEROY, ancien président (UMP) du Conseil général de Moselle.
Parmi les candidats non sortants et têtes de liste aux élections sénatoriales, on retiendra que le député (UMP) François GROSDIDIER a répondu favorablement.
À deux ans et demi des élections territoriales qui verront la désignation de conseillers siégeant à la fois au Conseil général et au Conseil régional, cet appel constitue un premier test de la volonté des élus d'agir de manière concrète pour la promotion du bilinguisme mosellan et de sortir des déclarations d'intention.
Outre de nombreux élus locaux, 7 des 10 députés de la Moselle ont répondu favorablement. Alain MARTY (UMP, Sarrebourg), Pierre LANG (UMP, Forbach) et Marie-Jo ZIMMERMANN (UMP, Metz 1) n'ont en revanche pas donné suite. C'est également le cas des élus d'Europe Ecologie - Les Verts au Conseil régional de Lorraine malgré les récentes déclarations d'Eva JOLY en faveur d'un statut officiel des langues régionales.
À quelques jours des élections sénatoriales du 25 septembre, CBL déplore qu'aucun des sénateurs mosellans sortants n'ait répondu malgré plusieurs relances. Cela concerne notamment Jean-Pierre MASSERET, président (PS) de la région Lorraine et Philippe LEROY, ancien président (UMP) du Conseil général de Moselle.
Parmi les candidats non sortants et têtes de liste aux élections sénatoriales, on retiendra que le député (UMP) François GROSDIDIER a répondu favorablement.
À deux ans et demi des élections territoriales qui verront la désignation de conseillers siégeant à la fois au Conseil général et au Conseil régional, cet appel constitue un premier test de la volonté des élus d'agir de manière concrète pour la promotion du bilinguisme mosellan et de sortir des déclarations d'intention.
Conférence des finances publiques locales du 16 juillet 2013