A ce jour, 75 % des enfants scolarisés dans les écoles dijonnaises déjeunent à la cantine.
Les personnes âgées à qui sont livrés des repas à domicile (300 000 repas par an) confectionnés par la même structure que celle des cantines scolaires bénéficieront aussi de cette mesure.
De telles décisions ne sont pas sans conséquence sur les finances communales : la ville évalue à 626 000 € le montant des mesures d’aide au pouvoir d’achat, c'est-à-dire presque un point d’impôt. La perte de recettes consécutive à cette décision sera compensée par des économies réalisées sur le budget général de la ville.
Pour François Rebsamen, il s’agit de mesures de solidarité et de justice sociale, qui visent à protéger les catégories de population les plus fragiles et les plus exposées en termes de diminution du pouvoir d’achat.