Une vaste escroquerie concernant les millions d'utilisateurs de téléphones mobiles en France faisait l’objet d’une enquête de l'Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication. Après deux ans d’enquête, cet organisme a interpellé trois français soupçonnés d'une arnaque au portable qui aurait fait des centaines milliers de victimes en France pour un total de plus de 600 000 euros.
L'escroquerie est basée sur le rappel du numéro affiché lors d’un appel manqué. Ces numéros rappelés sont des numéros surtaxés dont le titulaire touche de 40 à 90 centimes par rappel.
Les escrocs de cette semaine ont optimisé le procédé en utilisant des ordinateurs passant des milliers d’appels an mode autonome, ne laissant sonner le récepteur du correspondant qu’une seule fois. Un tiers des personnes ciblées auraient tenté de rappeler le correspondant fictif. Ce sont les opérateurs téléphoniques eux-mêmes qui se sont émus du grand nombre de réclamations concernant leurs appels payants sur un même numéro.
Ce n’est pas la première fois qu’une telle escroquerie est découverte. En 2004 au Royaume-Uni, une escroquerie identique avait déjà été découverte.
Piéger une victime par cette technique dite du « call-back » consiste à amener l’usager à rappeler un numéro surtaxé dont le titulaire touche une part du coût de la communication, le reste allant à l’opérateur téléphonique. Une technique répandue passe par la diffusion de petites annonces alléchantes invitant les personnes intéressées à appeler l’annonceur sur un tel numéro surtaxé. Les numéros utilisés commencent par 0892 et 0899. Certaines annoncent peuvent inviter à une transmission par fax qui bien entendu n’aboutit jamais.
L'escroquerie est basée sur le rappel du numéro affiché lors d’un appel manqué. Ces numéros rappelés sont des numéros surtaxés dont le titulaire touche de 40 à 90 centimes par rappel.
Les escrocs de cette semaine ont optimisé le procédé en utilisant des ordinateurs passant des milliers d’appels an mode autonome, ne laissant sonner le récepteur du correspondant qu’une seule fois. Un tiers des personnes ciblées auraient tenté de rappeler le correspondant fictif. Ce sont les opérateurs téléphoniques eux-mêmes qui se sont émus du grand nombre de réclamations concernant leurs appels payants sur un même numéro.
Ce n’est pas la première fois qu’une telle escroquerie est découverte. En 2004 au Royaume-Uni, une escroquerie identique avait déjà été découverte.
Piéger une victime par cette technique dite du « call-back » consiste à amener l’usager à rappeler un numéro surtaxé dont le titulaire touche une part du coût de la communication, le reste allant à l’opérateur téléphonique. Une technique répandue passe par la diffusion de petites annonces alléchantes invitant les personnes intéressées à appeler l’annonceur sur un tel numéro surtaxé. Les numéros utilisés commencent par 0892 et 0899. Certaines annoncent peuvent inviter à une transmission par fax qui bien entendu n’aboutit jamais.
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