Pour toute la France, ce sont donc au total 20 régiments, 11 bases aériennes et une base aéronavale qui seront soit dissous, soit transférés entre 2009 et 2015.
Or, la Moselle est le département le plus touché. En effet, la restructuration du département voulu par la Défense et annoncée fin juillet par le gouvernement devrait se solder par le départ de quelque 7.000 militaires d'ici à 2011!
Ainsi et par exemple, le 57ème régiment d'artillerie de Bitche sera dissout de même que le 13ème régiment de dragons parachutistes de Dieuze, en Meurthe-et-Moselle, sera transféré en Gironde.
Pour le nouveau maire de Metz, Dominique Gros (PS) : « Aujourd'hui, la Lorraine est unie pour montrer à l'Etat qu'elle refuse la saignée que veut lui imposer le gouvernement et pour demander à la nation un effort de solidarité au travers des compensations qui lui ont été promises par le président Nicolas Sarkozy » .
Presque à l’unisson, le maire de Nancy, André Rossinot (PR), dont la présence à Metz n’est pas passée inaperçue en raison de la vieille rivalité opposant les deux villes a ajouté : « C'est une nouvelle Lorraine qui s'est mise en marche avec l'ambition d'avoir, unie, d'autres rapports avec l'Etat ». Vous avez dit clivage politique ?
Enfin, lors du défilé-manifestation, plusieurs élus ont exhorté le chef de l'Etat à tenir ses promesses à savoir les compensations qu’attendent Metz mais aussi les autres villes de Moselle.
Or, la Moselle est le département le plus touché. En effet, la restructuration du département voulu par la Défense et annoncée fin juillet par le gouvernement devrait se solder par le départ de quelque 7.000 militaires d'ici à 2011!
Ainsi et par exemple, le 57ème régiment d'artillerie de Bitche sera dissout de même que le 13ème régiment de dragons parachutistes de Dieuze, en Meurthe-et-Moselle, sera transféré en Gironde.
Pour le nouveau maire de Metz, Dominique Gros (PS) : « Aujourd'hui, la Lorraine est unie pour montrer à l'Etat qu'elle refuse la saignée que veut lui imposer le gouvernement et pour demander à la nation un effort de solidarité au travers des compensations qui lui ont été promises par le président Nicolas Sarkozy » .
Presque à l’unisson, le maire de Nancy, André Rossinot (PR), dont la présence à Metz n’est pas passée inaperçue en raison de la vieille rivalité opposant les deux villes a ajouté : « C'est une nouvelle Lorraine qui s'est mise en marche avec l'ambition d'avoir, unie, d'autres rapports avec l'Etat ». Vous avez dit clivage politique ?
Enfin, lors du défilé-manifestation, plusieurs élus ont exhorté le chef de l'Etat à tenir ses promesses à savoir les compensations qu’attendent Metz mais aussi les autres villes de Moselle.
Conférence des finances publiques locales du 16 juillet 2013