"Je donnerai des éléments nouveaux, je dirai la vérité sur l'affaire Clearstream", a-t-il affirmé, ajoutant qu'il n'était "pas un délateur".
Il a également réaffirmé que, depuis son audition de décembre 2006, il a lu le dossier d'instruction. "J'apporterai des preuves qu'à aucun moment, je n'ai été impliqué dans ce dossier, que je n'ai fait que mon devoir"
"Le 13 septembre, la vérité fera un grand pas en avant", a-t-il déclaré.
Il s'est dit "diabolisé par un tour de passe-passe qui a fait passer ce dossier d'industriel à politique", assurant que "ce n'est pas un dossier politique".
"Ma conviction, c'est qu'il y a eu une thèse politique qui a préexisté et que l'instruction s'en est trouvée bouleversée", a-t-il encore déclaré.
"J'ai été attaqué dans cette affaire, je demande réparation", a dit encore l’ancien Premier ministre.