La commission d'enquête, qui dispose de six mois pour rendre son rapport, s'est engagée à avancer ses travaux d'un mois, afin de laisser au gouvernement le temps de proposer des réformes.
Mais le calendrier reste très serré. Or «Toute réforme de la justice doit se faire calmement, sereinement», explique le président de l'Assemblée, qui souhaite «construire le socle d'une réforme, qui serait ensuite mise en oeuvre par ceux qui accéderaient au pouvoir».