Aucun acte de sabotage n'a été relevé en Lorraine durant le conflit, mais plusieurs plaintes ont été déposées pour «des actes d'entrave à la circulation», comme des palettes brûlées sur les voies, des pétards d'urgence lancés lors du passage de TER ou du ballast mis dans les aiguillages afin d'arrêter les trains, a déclaré la direction régionale de la SNCF.
La direction de la SNCF avait dénoncé mercredi une «action coordonnée de sabotage».
L'essentiel des plaintes concerne des faits commis sur des grandes lignes, avait indiqué la gendarmerie, aucun de ces actes n'ayant été signé ou revendiqué, selon elle.