Une société bordelaise, la "Soft Connexion of the World (SCW), installée en 2002 dans le quartier huppé du parvis des Chartrons à Bordeaux, a vu dans la croissance du marché des appels à l’international un moyen simple de gagner de l’argent.
Ce sont pas moins de cinq opérateurs téléphoniques qui en 6 mois se sont fait escroquer un demi million d’euros de prestations.
La SCW vendait des cartes téléphoniques permettant d’appeler l’étranger et incluant le système de "call-back". Ces cartes proposaient des tarifs extrêmement attractifs : 500 minutes de communications pour 7.5 euros seulement.
Les fournisseurs de SCW (Marconi France Télécommunication, ITN-France-Vivaction, First élécom, Primus Télécommunications France et même France Télécom)
C’est la société Marconi France qui a levé le lièvre la première, constatant qu’après 3 jours, la note de son client s’élevait déjà à 80 000 euros pour 38000 appels passés.
De son côté, France Télécom avait mis en place des câbles permettant le fonctionnement de 120 voies de communications simultanées.
Selon l’enquête, les responsables de la SCW n’en sont pas à leur coup d’essai et le principal suspect, Hussain Munawar, aujourd’hui en examen et placé en détention provisoire, aurait déjà sévi en Suède.
Ce sont pas moins de cinq opérateurs téléphoniques qui en 6 mois se sont fait escroquer un demi million d’euros de prestations.
La SCW vendait des cartes téléphoniques permettant d’appeler l’étranger et incluant le système de "call-back". Ces cartes proposaient des tarifs extrêmement attractifs : 500 minutes de communications pour 7.5 euros seulement.
Les fournisseurs de SCW (Marconi France Télécommunication, ITN-France-Vivaction, First élécom, Primus Télécommunications France et même France Télécom)
C’est la société Marconi France qui a levé le lièvre la première, constatant qu’après 3 jours, la note de son client s’élevait déjà à 80 000 euros pour 38000 appels passés.
De son côté, France Télécom avait mis en place des câbles permettant le fonctionnement de 120 voies de communications simultanées.
Selon l’enquête, les responsables de la SCW n’en sont pas à leur coup d’essai et le principal suspect, Hussain Munawar, aujourd’hui en examen et placé en détention provisoire, aurait déjà sévi en Suède.
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