A l'audience, Angelo Hoekelet a assuré avoir payé son billet et avoir été molesté sans raison véritable.
L'accusation lui oppose les témoignages des quatre agents de la RATP protagonistes de l'affaire et des deux gendarmes, ainsi qu'un certificat médical accordant huit jours d'interruption de travail à l'agent qui dit avoir été victime du coup de tête.
Le tribunal a accordé au total 850 euros de dommages et intérêts aux trois agents de la RATP, somme conforme à leur demande, et 1.000 euros aux gendarmes, qui demandaient 2 500 euros.