Ce n’est rien d’autre de leur part que de reprendre avec encore davantage d’audace leur habitude bien ancrée dans leurs mœurs que de jouer « au casino » planétaire sur lequel règne manifestement une mafia qui permet chaque jour aux riches de l’être un peu plus et aux pauvres de l’être davantage.
Le scrutin italien est venu rappeler à ceux qui l’avaient oublié qu’une arme terrible existe : le bulletin de vote ! Que nos dirigeants, ici comme ailleurs en prennent de la graine car le risque n’a jamais été si important de voir la société, ébranlée et divisée, se rebeller.