Mais pour le Département, il s'agissait d'empêcher l’apparition d’une double fracture numérique : entre les zones urbaines (mieux desservies) et les zones rurales d’une part, et d’autre part entre le nord (bien desservi) et le sud de la Seine-et-Marne. Au-delà de cet objectif, il s’agit bien sûr d’offrir enfin au territoire les conditions d’un dynamisme économique, culturel et social à la mesure de son potentiel. Mission accomplie, puisque, désormais, aucune commune ne se trouve à plus de 10 kilomètres du réseau !
L’élaboration de ce réseau de transport public de communication électronique répond à de fortes attentes : particuliers, entreprises, collectivités locales, services publics….
Au terme d’un plan d’actions unique en France, la construction du réseau Sem@for77, vaste réseau de fibres optiques vient de s’achever.
A ce jour, 1 200 km de fibres optiques sont déployés sur toute la Seine-et-Marne (la moitié de l’IDF), par le Conseil général et la Région Île-de-France, pour un accès au très haut débit.
Enjeu majeur pour le développement économique du département, 197 zones d’activité sont raccordables à ce réseau pour répondre aux besoins constants d’innovation et de compétitivité des entreprises.
En matière de service public, les 546 administrations et établissements raccordables à la fibre optique peuvent aujourd’hui offrir de nouveaux services à l’ensemble des Seine-et-Marnais.
La prochaine étape consiste à rendre le très haut débit accessible au plus grand nombre, y compris aux particuliers, mais également à développer les usages. Elle ne peut se faire que par l’intermédiaire des collectivités locales, des entrepreneurs et des aménageurs.
La Seine-et-Marne, grande oubliée du plan de relance !
Le Premier Ministre a annoncé cette semaine le contenu du plan de relance du Gouvernement.
Vincent Éblé, Président du Conseil général, déplore que la Seine-et-Marne soit la grande oubliée de ce plan.
Ne figurent, en effet, dans ce document que deux projets concrets pour notre Département :
• la rénovation du Musée de Fontainebleau,
• et la réhabilitation de la Cathédrale de Meaux.
Ces projets ne sont manifestement pas à la hauteur des enjeux : aucun équipement structurant ; aucun projet de transport en commun ou d’aménagement routier !
A l’heure où certains élus de l’opposition départementale prétendent que le Conseil général ne défendrait pas correctement les intérêts de la Seine-et-Marne, Vincent Éblé constate l’incapacité manifeste de la Droite seine-et-marnaise, pourtant représentée au sein même du Gouvernement, à faire entendre la voix de la Seine-et-Marne !
S’il avait été consulté sur le contenu de ce plan, le Conseil général aurait pu soumettre au Gouvernement quelques projets dont la portée serait incontestablement plus en phase avec les nécessités du moment, tels que :
• l’électrification des lignes Paris-Provins-Bâle et de Meaux-La Ferté Milon,
• la construction de la bibliothèque universitaire de Marne-la-Vallée,
• la construction du centre de recherche à énergie positive Descartes + dans le cadre du pôle de compétitivité Advancity,
• la reconstruction de la Scène Nationale de Sénart,
• l’implantation d’un stade d’athlétisme couvert pour l’entraînement à haut niveau,
• la seconde tranche de travaux du TCSP Sénart-Evry via Corbeil,
• le prolongement de la ligne E du RER jusqu’au Val Bréon et jusqu’à Meaux,
• la modernisation des RER A, B et D,
• la reconversion de l’ex CREPS à Montry,
• la réhabilitation du Grand Parquet et la création du pôle international du tourisme à Fontainebleau,
• le bouclage de l’A 104 pour un accès Est à Roissy,
• la création des Musées de la Grande Guerre à Meaux et des Transports à Chelles
Vincent Éblé demande donc au Premier Ministre qu’il revoit sa copie et qu’il prenne réellement en compte les besoins et attentes de la Seine-et-Marne.
Il confirme que, de son côté, le Conseil général maintiendra en 2009 ses investissements à un haut niveau. Pour mémoire, ceux-ci ont atteint 230 M€ en 2008, montant jamais atteint depuis 15 ans.
Il rappelle enfin que les collectivités locales assurent aujourd’hui 75 % de l’investissement public de notre pays ; elles sont donc un acteur déterminant de l’indispensable relance.
Il réitère donc l’exigence formulée par l’ensemble des associations d’élus (ADF, ARF, AMF…) de la conclusion d’un véritable pacte de relance entre l’Etat et les collectivités.
L’élaboration de ce réseau de transport public de communication électronique répond à de fortes attentes : particuliers, entreprises, collectivités locales, services publics….
Au terme d’un plan d’actions unique en France, la construction du réseau Sem@for77, vaste réseau de fibres optiques vient de s’achever.
A ce jour, 1 200 km de fibres optiques sont déployés sur toute la Seine-et-Marne (la moitié de l’IDF), par le Conseil général et la Région Île-de-France, pour un accès au très haut débit.
Enjeu majeur pour le développement économique du département, 197 zones d’activité sont raccordables à ce réseau pour répondre aux besoins constants d’innovation et de compétitivité des entreprises.
En matière de service public, les 546 administrations et établissements raccordables à la fibre optique peuvent aujourd’hui offrir de nouveaux services à l’ensemble des Seine-et-Marnais.
La prochaine étape consiste à rendre le très haut débit accessible au plus grand nombre, y compris aux particuliers, mais également à développer les usages. Elle ne peut se faire que par l’intermédiaire des collectivités locales, des entrepreneurs et des aménageurs.
La Seine-et-Marne, grande oubliée du plan de relance !
Le Premier Ministre a annoncé cette semaine le contenu du plan de relance du Gouvernement.
Vincent Éblé, Président du Conseil général, déplore que la Seine-et-Marne soit la grande oubliée de ce plan.
Ne figurent, en effet, dans ce document que deux projets concrets pour notre Département :
• la rénovation du Musée de Fontainebleau,
• et la réhabilitation de la Cathédrale de Meaux.
Ces projets ne sont manifestement pas à la hauteur des enjeux : aucun équipement structurant ; aucun projet de transport en commun ou d’aménagement routier !
A l’heure où certains élus de l’opposition départementale prétendent que le Conseil général ne défendrait pas correctement les intérêts de la Seine-et-Marne, Vincent Éblé constate l’incapacité manifeste de la Droite seine-et-marnaise, pourtant représentée au sein même du Gouvernement, à faire entendre la voix de la Seine-et-Marne !
S’il avait été consulté sur le contenu de ce plan, le Conseil général aurait pu soumettre au Gouvernement quelques projets dont la portée serait incontestablement plus en phase avec les nécessités du moment, tels que :
• l’électrification des lignes Paris-Provins-Bâle et de Meaux-La Ferté Milon,
• la construction de la bibliothèque universitaire de Marne-la-Vallée,
• la construction du centre de recherche à énergie positive Descartes + dans le cadre du pôle de compétitivité Advancity,
• la reconstruction de la Scène Nationale de Sénart,
• l’implantation d’un stade d’athlétisme couvert pour l’entraînement à haut niveau,
• la seconde tranche de travaux du TCSP Sénart-Evry via Corbeil,
• le prolongement de la ligne E du RER jusqu’au Val Bréon et jusqu’à Meaux,
• la modernisation des RER A, B et D,
• la reconversion de l’ex CREPS à Montry,
• la réhabilitation du Grand Parquet et la création du pôle international du tourisme à Fontainebleau,
• le bouclage de l’A 104 pour un accès Est à Roissy,
• la création des Musées de la Grande Guerre à Meaux et des Transports à Chelles
Vincent Éblé demande donc au Premier Ministre qu’il revoit sa copie et qu’il prenne réellement en compte les besoins et attentes de la Seine-et-Marne.
Il confirme que, de son côté, le Conseil général maintiendra en 2009 ses investissements à un haut niveau. Pour mémoire, ceux-ci ont atteint 230 M€ en 2008, montant jamais atteint depuis 15 ans.
Il rappelle enfin que les collectivités locales assurent aujourd’hui 75 % de l’investissement public de notre pays ; elles sont donc un acteur déterminant de l’indispensable relance.
Il réitère donc l’exigence formulée par l’ensemble des associations d’élus (ADF, ARF, AMF…) de la conclusion d’un véritable pacte de relance entre l’Etat et les collectivités.
Conférence des finances publiques locales du 16 juillet 2013