Accès aux gaines France Telecom
Le différent porte sur la difficulté d’accès aux gaines (située généralement dans des tranchées) par Free. Cet accès est nécessaire pour y faire passer les fibres optiques porteuses de très haut débit. Selon Free, France Telecom rend cet accès "compliqué".
Le quotidien Les Echos mentionne que l’Arcep, Autorité de régulation des télécoms, a jugé que l'opérateur historique possède "entre 300.000 et 350.000 kilomètres" de tranchées, touchant "plus de deux tiers des foyers" français.
Pour égaler de telles infra structures, Free ou tout autre opérateur devrait investir plusieurs milliards d’euros, lui permettant de toucher les zones reculées de France.
Arbitrage Arcep
L’Arcep a donc lancé fin juillet deux consultations publiques portant sur la "mutualisation" de ces réseaux entre les principaux fournisseurs d'accès à internet, dans le but de faciliter la concurrence.
La première consultation a pour objet de "permettre l'accès de tous les opérateurs aux infrastructures", l’idée étant de diminuer les coûts de travaux de génie civil, partie essentielle des investissements.
Free, France Télécom et Neuf Cegetel ont commencé à se déployer, principalement sur Paris, mais n’arrivent pas à s’entendre pour partager leurs équipements.
L’enjeu du très haut débit porte sur les activités dévoreuses de bande passante, telles la télévision en haute définition, le jeu en ligne, l’échange de fichiers volumineux.
Le quotidien Les Echos mentionne que l’Arcep, Autorité de régulation des télécoms, a jugé que l'opérateur historique possède "entre 300.000 et 350.000 kilomètres" de tranchées, touchant "plus de deux tiers des foyers" français.
Pour égaler de telles infra structures, Free ou tout autre opérateur devrait investir plusieurs milliards d’euros, lui permettant de toucher les zones reculées de France.
Arbitrage Arcep
L’Arcep a donc lancé fin juillet deux consultations publiques portant sur la "mutualisation" de ces réseaux entre les principaux fournisseurs d'accès à internet, dans le but de faciliter la concurrence.
La première consultation a pour objet de "permettre l'accès de tous les opérateurs aux infrastructures", l’idée étant de diminuer les coûts de travaux de génie civil, partie essentielle des investissements.
Free, France Télécom et Neuf Cegetel ont commencé à se déployer, principalement sur Paris, mais n’arrivent pas à s’entendre pour partager leurs équipements.
L’enjeu du très haut débit porte sur les activités dévoreuses de bande passante, telles la télévision en haute définition, le jeu en ligne, l’échange de fichiers volumineux.
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