L’instruction du dossier ne se terminera plus par une décision de non-lieu, comme auparavant.
Cette décision pourra être assortie de mesures de sûreté telles que l’interdiction de porter une arme, de rencontrer sa victime ou de fréquenter certains lieux. La justice pourra également décider l’hospitalisation psychiatrique d’office.
Les victimes seront dédommagées plus facilement, le dossier étant directement renvoyé au juge délégué aux victimes qui statuera sur leurs demandes.