Il a successivement évoqué le cambriolage au domicile du couple Royal-Hollande, l’affaire Rebelle (du nom de l’ex-directeur de Greenpeace France, dont le ralliement à Ségolène Royal avait coïncidé à la réactualisation d’une fiche le concernant par les Renseignements Généraux).
Le PS avait à l’époque soupçonné l’entourage de Nicolas Sarkozy d’être à l’origine de cette enquête. Jack Lang a enfin mentionné le cambriolage du domicile de la collaboratrice de Ségolène Royal. Il a même évoqué «d'autres faits que je ne peux même pas vous dire qui concernent telle secrétaire, tel collaborateur». Il n’a pas donné de précisions sur la forme que prendrait cette démarche. «Nous ne voulons pas porter d'accusations sans preuve», a-t-il ajouté.