Les échanges informatiques seront réalisés par les organismes gérant les casiers judiciaires - en France, le Casier judiciaire national - et utiliseront le réseau de communication européen sécurisé, Testa.
Pour le ministère français de la Justice, "ce projet est aussi un succès politique et la plus parfaite illustration des résultats qui peuvent être obtenus dans le cadre d'une coopération renforcée entre quelques Etats membres de l'Union".
Les ministres de la Justice de la République tchèque et du Luxembourg, qui participent au groupe de travail sur le projet, devaient assister mardi à la cérémonie réunissant leurs homologues des quatre premiers pays participants.