Les six Français, inculpés pour "escroquerie" et "enlèvement de mineurs en vue de compromettre leur état civil", risquent 20 ans de prison s'ils sont reconnus coupables. Leur procès s'est ouvert vendredi devant la cour criminelle à N'Djamena.
Selon Gilbert Collard, un autre avocat de la défense, les accusés vont expliquer qu'ils n'étaient pas venus ici pour faire du tort à quiconque, mais pour sauver des vies à tous prix. D'après lui, ils ont reconnu qu'ils n'avaient pas suivi les méthodes habituelles de l'aide humanitaire.