Français, naturalisés ou étrangers, les habitants de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ont été nombreux à participer au premier référendum local ouvert aux étrangers - et donc illégal - organisé à ce jour en France.
La consultation, qui portait sur le droit de vote et d'éligibilité des étrangers, avait été lancée par le maire de Saint-Denis Didier Paillard (PCF).
Elle avait reçu un soutien unanime des partis de gauche, dont plusieurs représentants -de la porte-parole de Lutte ouvrière Arlette Laguiller au Premier secrétaire du Parti socialiste François Hollande en passant par la sénatrice de Seine-Saint-Denis (Verts) Dominique Voynet- avaient fait le déplacement dimanche.
Le référendum avait une valeur symbolique, la préfecture ayant fait reconnaître son illégalité par le tribunal administratif de Cergy (Val-d'Oise) le 23 février, il n'en a pas moins rencontré un franc succès, auprès d'une population dionysienne comptant un quart d'étrangers.
La consultation, qui portait sur le droit de vote et d'éligibilité des étrangers, avait été lancée par le maire de Saint-Denis Didier Paillard (PCF).
Elle avait reçu un soutien unanime des partis de gauche, dont plusieurs représentants -de la porte-parole de Lutte ouvrière Arlette Laguiller au Premier secrétaire du Parti socialiste François Hollande en passant par la sénatrice de Seine-Saint-Denis (Verts) Dominique Voynet- avaient fait le déplacement dimanche.
Le référendum avait une valeur symbolique, la préfecture ayant fait reconnaître son illégalité par le tribunal administratif de Cergy (Val-d'Oise) le 23 février, il n'en a pas moins rencontré un franc succès, auprès d'une population dionysienne comptant un quart d'étrangers.
Conférence des finances publiques locales du 16 juillet 2013