Les magistrats tendent à souligner que « la mauvaise comptabilisation » concerne aussi bien la Tour Eiffel que « des milliers de logements gérés par des sociétés d’économie mixte pour le compte de la ville ». Ils estiment d’autre part que la situation pourrait être progressivement améliorée « à l’occasion du renouvellement des conventions de gestion actuellement en cours ».
Le rapport dénonce également « le niveau d’approximation » qui met en doute « la sincérité du bilan de la ville de Paris » et recommande à la ville de Paris que la gestion comptable du patrimoine « soit traitée par un service ayant une responsabilité claire ».