Selon la ministre de la Justice Rachida Dati, la réforme de la carte judiciaire qu'elle est en train de mener correspond à "une attente des Français".
Dans les propos de la garde des Sceaux recueillis par RTL, on peut noter que cette réforme porte sur "l'implantation des sites où on rend la justice" qui "date de 1958", et permettra d'"avoir une justice de meilleure qualité", "plus lisible et plus efficace",
Elle a également assuré que "Le seul objectif de cette réforme", c'est de "revoir comment on rend la justice en France, dans de meilleures conditions" et "de manière plus rapide". Mais "ce n'est pas une réforme mécanique".
Mme Dati a entrepris une tournée des régions françaises pour y expliquer localement sa réforme, mais elle semble se heurter aux critiques et susciter des mécontentements, aussi bien parmi les magistrats et employés du système judiciaire que chez les élus.
Questionnée sur ces réactions apparemment négatives, Rachida Dati a rétorqué que "la réforme, il y a deux manières de la faire : c'est ou on la fait ou on ne la fait pas". Elle a ajouté "que quand on essaie de bouger quelque chose qui n'a pas été touché depuis 1958, ça crée des frictions", mais "quand il y a du tumulte et un peu de conflit, c'est un signe de bonne santé démocratique"
Dans les propos de la garde des Sceaux recueillis par RTL, on peut noter que cette réforme porte sur "l'implantation des sites où on rend la justice" qui "date de 1958", et permettra d'"avoir une justice de meilleure qualité", "plus lisible et plus efficace",
Elle a également assuré que "Le seul objectif de cette réforme", c'est de "revoir comment on rend la justice en France, dans de meilleures conditions" et "de manière plus rapide". Mais "ce n'est pas une réforme mécanique".
Mme Dati a entrepris une tournée des régions françaises pour y expliquer localement sa réforme, mais elle semble se heurter aux critiques et susciter des mécontentements, aussi bien parmi les magistrats et employés du système judiciaire que chez les élus.
Questionnée sur ces réactions apparemment négatives, Rachida Dati a rétorqué que "la réforme, il y a deux manières de la faire : c'est ou on la fait ou on ne la fait pas". Elle a ajouté "que quand on essaie de bouger quelque chose qui n'a pas été touché depuis 1958, ça crée des frictions", mais "quand il y a du tumulte et un peu de conflit, c'est un signe de bonne santé démocratique"
Carte judiciaire : réouverture des dossiers pour neuf petites villes