Le dirigeant socialiste ne s'est pas rendu au tribunal correctionnel de Montpellier mais il a cependant fait parvenir une lettre dans laquelle il explique son geste.
Son avocat, André Ferran, a réfuté les thèses réputées racistes de son client, estimant qu'il s'agissait de "propos personnels" et il a demandé la relaxe de son client.
De son côté, M. Alain Scheuer, avocat de cinq parties civiles, a regretté "que l'on abaisse les valeurs de la société à de simples amendes financières. Faudra t-il attendre d'autres dérapages comme ce réquisitoire en laisse la porte ouverte ?".