Une signature un peu « précipitée »
Une personne de l'entreprise JC Decaux nettoie des panneaux de signalisation, le 06 octobre 2006 à Paris.
La municipalité, qui n'était pas obligée de patienter jusqu'à cette décision car le recours n'est pas suspensif, évite ainsi de prendre du retard dans la mise en place du plan vélos, qui prévoit la mise en place de 14.100 vélos répartis sur 1.000 stations dès la mi-juillet.
"La conclusion de ce marché (...) fait suite à la décision du juge des référés du tribunal administratif de Paris qui a rejeté le 23 février la demande d'annulation de la procédure d'appel d'offres formulée par (le groupe américain) Clear Channel", indique le groupe, dans un communiqué.
Clear Channel a saisi lundi le Conseil d'Etat d'un pourvoi en cassation contre cette ordonnance du juge des référés, mais une source proche du maire PS Bertrand Delanoë avait alors indiqué à l'AFP que la signature du contrat aurait lieu "incessamment".
"Pour mettre en œuvre un dispositif de 20.600 vélos répartis en 1.451 stations (d'ici la fin 2007, ndlr), plus de 400 emplois seront créés avec le recrutement immédiat de collaborateurs qui suivront un cursus dans le centre de formation JCDecaux", annonce le groupe français.
Désignée par la commission d'appel d'offres de la ville de Paris le 29 janvier, la société Somupi, filiale à 66% de JCDecaux (Publicis détient les 34% restants), a obtenu la gestion des 1.628 panneaux publicitaires de la municipalité pendant 10 ans, moyennant le versement de 15 millions d'euros et la mise à disposition de vélos en libre-service, à louer pour une somme modique.
Le Conseil de Paris avait donné son feu vert à Bertrand Delanoë le 12 février pour que celui-ci signe ce contrat avec JCDecaux dès la décision de la justice administrative sur le recours de Clear Channel.
Le concurrent américain de JCDecaux avait saisi la justice début février afin que celle-ci contrôle "le respect des règles de mise en concurrence auxquelles sont soumis les marchés publics".
"La conclusion de ce marché (...) fait suite à la décision du juge des référés du tribunal administratif de Paris qui a rejeté le 23 février la demande d'annulation de la procédure d'appel d'offres formulée par (le groupe américain) Clear Channel", indique le groupe, dans un communiqué.
Clear Channel a saisi lundi le Conseil d'Etat d'un pourvoi en cassation contre cette ordonnance du juge des référés, mais une source proche du maire PS Bertrand Delanoë avait alors indiqué à l'AFP que la signature du contrat aurait lieu "incessamment".
"Pour mettre en œuvre un dispositif de 20.600 vélos répartis en 1.451 stations (d'ici la fin 2007, ndlr), plus de 400 emplois seront créés avec le recrutement immédiat de collaborateurs qui suivront un cursus dans le centre de formation JCDecaux", annonce le groupe français.
Désignée par la commission d'appel d'offres de la ville de Paris le 29 janvier, la société Somupi, filiale à 66% de JCDecaux (Publicis détient les 34% restants), a obtenu la gestion des 1.628 panneaux publicitaires de la municipalité pendant 10 ans, moyennant le versement de 15 millions d'euros et la mise à disposition de vélos en libre-service, à louer pour une somme modique.
Le Conseil de Paris avait donné son feu vert à Bertrand Delanoë le 12 février pour que celui-ci signe ce contrat avec JCDecaux dès la décision de la justice administrative sur le recours de Clear Channel.
Le concurrent américain de JCDecaux avait saisi la justice début février afin que celle-ci contrôle "le respect des règles de mise en concurrence auxquelles sont soumis les marchés publics".
Conférence des finances publiques locales du 16 juillet 2013