Mis en cause par les autres acteurs de l'affaire des faux listings Clearstream, l'ancien Premier ministre, de retour de vacances, a été mis en examen pour "complicité de dénonciation calomnieuse" mais a refusé de s'exprimer sur le fond de l'affaire.
Il est arrivé à 9h40, et il est ressorti un peu plus d'une heure plus tard. Dominique de Villepin s'est présenté vendredi matin au pôle financier du Palais de justice de Paris, où il devait être entendu par les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons, en charge de l'affaire Clearstream.
Comme prévu, l'ancien Premier ministre a été mis en examen par les deux magistrats pour "complicité de dénonciation calomnieuse, recel de vol, recel d'abus de confiance et complicité d'usage de faux". "Les juges m'ont confirmé leur décision.
Cela me permettra de prendre connaissance, comme je l'ai souhaité, de l'intégralité du dossier", a déclaré Dominique de Villepin à la sortie de son audition.
Il est arrivé à 9h40, et il est ressorti un peu plus d'une heure plus tard. Dominique de Villepin s'est présenté vendredi matin au pôle financier du Palais de justice de Paris, où il devait être entendu par les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons, en charge de l'affaire Clearstream.
Comme prévu, l'ancien Premier ministre a été mis en examen par les deux magistrats pour "complicité de dénonciation calomnieuse, recel de vol, recel d'abus de confiance et complicité d'usage de faux". "Les juges m'ont confirmé leur décision.
Cela me permettra de prendre connaissance, comme je l'ai souhaité, de l'intégralité du dossier", a déclaré Dominique de Villepin à la sortie de son audition.
Carte judiciaire : réouverture des dossiers pour neuf petites villes